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Fiscalité & Argent

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Association ADA & Défense des Droits

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    Le chèque énergie est une aide de l’État destinée à soutenir les ménages aux revenus modestes dans le paiement de leurs factures d’énergie (électricité, gaz, fioul, bois, etc.) et de certains travaux de rénovation énergétique. Cette aide, cumulable avec d’autres aides financières sociales, représente un soutien essentiel pour alléger vos dépenses. Qu’est-ce que le Chèque énergie ? Le chèque énergie est une aide annuelle envoyée automatiquement aux foyers éligibles. Contrairement à d’autres aides, vous n’avez pas besoin d’en faire la demande : l’attribution est basée sur vos revenus et votre composition familiale. Montant : entre 48 € et 277 € par an selon les ressources. Utilisation : paiement de factures d’énergie ou financement de travaux de rénovation énergétique. Validité : généralement un an à partir de sa date d’émission. Conditions d’éligibilité Pour bénéficier du chèque énergie, vos revenus doivent respecter certains plafonds définis par l’État. L’éligibilité est calculée sur la base du revenu fiscal de référence (RFR) divisé par le nombre d’unités de consommation (UC) de votre foyer. Une personne seule : RFR inférieur à environ 11 000 €. Un couple avec deux enfants : seuil plus élevé. Comment recevoir le Chèque énergie ? Vous n’avez aucune démarche à faire. Chaque année, au printemps, il est envoyé automatiquement aux foyers éligibles. Si vous ne l’avez pas reçu alors que vous êtes éligible, vérifiez votre situation sur le site officiel chequeenergie.gouv.fr avec votre numéro fiscal. Utilisation du Chèque énergie Vous pouvez l’utiliser pour : Payer vos factures d’électricité ou de gaz. Régler vos dépenses de chauffage (fioul, bois, pellets…). Financer certains travaux de rénovation énergétique réalisés par des professionnels RGE. Autres aides financières disponibles En complément du chèque énergie, vous pouvez demander : APL (Aide personnalisée au logement) pour réduire votre loyer. Fonds de solidarité logement (FSL) pour régler vos impayés. MaPrimeRénov’ et la Prime énergie pour financer vos travaux. Conseils pratiques Vérifiez vos droits chaque année avec votre numéro fiscal. Utilisez votre chèque avant sa date limite. Cumulez vos aides pour réduire vos charges. Contactez les services sociaux de votre commune pour être accompagné. Conclusion Le chèque énergie est un soutien précieux pour faire face à la hausse du coût de l’énergie en France. Associé aux autres aides financières, il peut alléger vos dépenses et améliorer votre confort de vie. Informez-vous régulièrement et profitez de tous les dispositifs disponibles.
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    Contrôle fiscal en France : comment ça se passe et qui est concerné ? Contrôle fiscal en France : comment ça se passe et qui est concerné ? Le contrôle fiscal est une procédure mise en place par l’administration pour vérifier la conformité des déclarations fiscales des contribuables. Qu’il s’agisse d’un particulier ou d’une entreprise, chacun peut être concerné. Comprendre le fonctionnement du contrôle fiscal permet de mieux s’y préparer et d’éviter les erreurs coûteuses. 1. Qui peut être concerné par un contrôle fiscal ? En France, le contrôle fiscal peut viser : Les particuliers : notamment ceux dont la situation fiscale présente des incohérences (revenus déclarés, patrimoine, dépenses). Les travailleurs indépendants et professions libérales : souvent contrôlés pour vérifier la cohérence entre les revenus déclarés et l’activité réelle. Les entreprises : toutes tailles confondues, des micro-entreprises aux grands groupes internationaux. Selon la Direction Générale des Finances Publiques (DGFiP), le contrôle est aléatoire mais peut aussi être déclenché par des signaux d’alerte (erreurs répétées, montants incohérents, déclarations contradictoires). 2. Les différents types de contrôles fiscaux Le contrôle sur pièces : réalisé directement par l’administration, sans déplacement, à partir des documents déclarés. La vérification de comptabilité : concerne les entreprises, avec analyse de la comptabilité sur place ou à distance. L’examen de la situation fiscale personnelle (ESFP) : concerne les particuliers, visant à vérifier la cohérence entre les revenus, le patrimoine et le train de vie. 3. Comment se déroule un contrôle fiscal ? Notification : le contribuable reçoit un avis l’informant du contrôle. Phase de vérification : l’administration examine les documents fiscaux, comptables et justificatifs. Dialogue contradictoire : le contrôlé peut apporter des explications ou justificatifs complémentaires. Conclusion : une proposition de rectification est envoyée si des irrégularités sont constatées. Bon à savoir : les contribuables ont le droit d’être assistés d’un avocat fiscaliste ou d’un expert-comptable lors de la procédure. 4. Quels sont les droits et obligations du contribuable ? Lors d’un contrôle fiscal, le contribuable dispose de droits garantis par la loi : Être informé de la procédure et des motifs du contrôle. Présenter ses observations et justificatifs. Contester une proposition de rectification. En contrepartie, il a l’obligation de : Fournir les documents demandés (factures, relevés bancaires, bilans comptables, etc.). Collaborer avec l’administration dans les délais impartis. 5. Que se passe-t-il après un contrôle fiscal ? À l’issue du contrôle : Si aucune anomalie n’est trouvée, le contrôle est clôturé sans conséquence. En cas d’irrégularités, une rectification est appliquée avec des redressements d’impôt et parfois des pénalités. ️ Vous pouvez consulter aussi notre article sur comment calculer son impôt sur le revenu pour éviter les erreurs fréquentes. 6. Conclusion Le contrôle fiscal en France est une procédure normale et encadrée, qui vise à assurer l’équité entre tous les contribuables. Qu’il s’agisse d’un particulier ou d’une entreprise, l’anticipation et la transparence sont les meilleures armes pour s’y préparer sereinement. Se faire accompagner par un professionnel peut également aider à éviter des erreurs coûteuses.
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    Transmettre son patrimoine est une étape cruciale de la vie familiale. En France, la donation est l’un des moyens les plus efficaces pour anticiper sa succession, protéger ses proches et réduire la fiscalité. Mais comment fonctionne-t-elle ? Quelles sont les démarches à prévoir ? Voici un guide complet. Pourquoi anticiper sa succession ? L’anticipation permet de : Préserver l’harmonie familiale en évitant les conflits, Réduire le montant des droits de succession, Aider ses enfants ou petits-enfants de son vivant, Protéger son conjoint en cas de décès. Les différents types de donations 1. La donation simple Elle consiste à donner un bien précis (argent, maison, terrain…). C’est l’acte le plus courant. 2. La donation-partage Elle permet de répartir équitablement le patrimoine entre plusieurs héritiers, évitant ainsi des conflits au moment de la succession. 3. La donation entre époux Aussi appelée donation au dernier vivant, elle renforce la protection du conjoint survivant, en lui offrant des droits élargis sur le patrimoine. Les avantages fiscaux de la donation En matière de fiscalité, la donation offre des abattements intéressants : Jusqu’à 100 000 € par enfant, renouvelables tous les 15 ans, 31 865 € pour un petit-enfant, 5 310 € pour un arrière-petit-enfant. Ces abattements permettent d’alléger fortement les droits de succession pour les générations suivantes. Les démarches pour réaliser une donation 1️⃣ Consulter un notaire : il est obligatoire pour les donations immobilières et conseillé dans tous les cas, 2️⃣ Rédiger et enregistrer l’acte de donation, 3️⃣ Déclarer la donation à l’administration fiscale, 4️⃣ Conserver une trace écrite claire afin d’éviter toute contestation future. Pièges à éviter ️ Donner trop tôt sans conserver de quoi subvenir à ses propres besoins, ️ Négliger l’équité entre enfants, ce qui peut engendrer des litiges, ️ Ne pas officialiser la donation auprès d’un notaire (risque d’invalidation). Conclusion L’anticipation de sa succession grâce à la donation est un moyen efficace de protéger ses proches, d’alléger les frais fiscaux et d’assurer une transmission harmonieuse de son patrimoine. En s’entourant d’un notaire et en respectant les règles juridiques, vous pouvez sécuriser l’avenir de votre famille tout en gardant la maîtrise de vos choix.
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    Exonérations et réductions de taxe d’habitation : toutes les conditions à connaître La taxe d’habitation a été réformée en profondeur. Depuis 2023, elle ne concerne plus les résidences principales, mais reste due pour certaines situations, notamment les résidences secondaires. Cependant, plusieurs exonérations et réductions existent encore. Voici un guide complet pour savoir si vous pouvez en bénéficier. 1. Suppression pour les résidences principales Depuis le 1ᵉʳ janvier 2023, la taxe d’habitation est supprimée pour tous les foyers sur leur résidence principale. Cette suppression est automatique, aucun dossier à remplir. Voir l’explication officielle sur service-public.fr. En 2025, la taxe d’habitation concerne uniquement : Les résidences secondaires, Certains logements meublés non affectés à l’habitation principale. 2. Exonérations pour les résidences secondaires dans certains cas Bien que la taxe reste due pour les résidences secondaires, certaines personnes ou situations peuvent bénéficier d’une exonération totale. Personnes âgées de plus de 60 ans, sous conditions de ressources et ne payant pas l’Impôt sur la Fortune Immobilière (IFI). Bénéficiaires de l’Allocation de Solidarité aux Personnes Âgées (ASPA) ou de l’Allocation Supplémentaire d’Invalidité (ASI). Contribuables en situation de handicap, titulaires de l’Allocation aux Adultes Handicapés (AAH). Locaux devenus vacants en raison d’un placement en établissement spécialisé (EHPAD, long séjour). ️ Ces exonérations doivent être demandées au centre des finances publiques avec justificatifs. 3. Réductions et abattements spécifiques Même sans exonération totale, des réductions peuvent s’appliquer dans certains cas : Abattement pour charges de famille : certaines collectivités locales appliquent des réductions pour les contribuables ayant des personnes à charge (enfants, ascendants). Réductions pour logement faiblement occupé : dans quelques communes, un allègement est possible si le logement secondaire est occupé de manière ponctuelle. Décote ou plafonnement pour faibles revenus : selon les décisions locales, certaines collectivités accordent des réductions aux ménages modestes. ️ 4. Cas particuliers Si vous avez vendu le bien avant le 1ᵉʳ janvier de l’année d’imposition, vous n’êtes pas redevable de la taxe d’habitation pour l’année suivante. Si le logement est devenu la résidence principale d’un locataire avant le 1ᵉʳ janvier, la taxe d’habitation incombe à ce dernier. Si le logement est vide et sans meubles, il peut être exonéré sous réserve de déclaration et d’acceptation par l’administration fiscale. Plus d’infos sur le site officiel impots.gouv.fr – exonérations et réclamations. 5. Démarches et délais Vérifiez votre avis d’imposition reçu à l’automne. Si vous pensez avoir droit à une exonération ou à une réduction, contactez rapidement votre centre des impôts. Déposez une réclamation avant le 31 décembre de l’année d’imposition, en joignant tous les justificatifs (revenus, âge, situation de handicap, etc.). Il est conseillé de faire la demande le plus tôt possible pour éviter un paiement inutile ou des pénalités. ️ 6. Points de vigilance Ne pas oublier de mettre à jour votre situation (changement de résidence principale, départ en établissement spécialisé, vente d’un bien). Ne pas confondre exonération automatique (résidence principale) et exonération conditionnelle (liée aux revenus, à l’âge ou à la santé). Bien vérifier chaque année l’avis d’imposition : des erreurs peuvent survenir, surtout après un déménagement ou un changement d’affectation du logement. Backlinks utiles Service-Public – Taxe d’habitation Impots.gouv.fr – Réclamation pour taxe d’habitation Ministère de l’Économie – Taxe sur les résidences secondaires En résumé Résidences principales : exonération totale et automatique depuis 2023. Résidences secondaires et logements meublés non principaux : taxe encore due en 2025. Plusieurs exonérations et réductions existent pour les personnes âgées, handicapées, à faibles revenus ou dans des situations particulières. Il est essentiel de vérifier chaque année votre avis d’imposition et de faire valoir vos droits en déposant une réclamation si besoin. Bien connaître ces règles vous permet d’optimiser votre fiscalité et d’éviter des paiements injustifiés.
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    Taxe foncière : qui doit payer et quelles exonérations possibles ? Taxe foncière : qui doit payer et quelles exonérations possibles ? La taxe foncière est un impôt local dû par les propriétaires de biens immobiliers en France. Elle constitue une ressource importante pour les collectivités locales. Pourtant, de nombreux contribuables s’interrogent : qui doit réellement la payer et dans quels cas peut-on bénéficier d’une exonération ? Voici un guide pratique pour mieux comprendre. 1. Qui doit payer la taxe foncière ? La taxe foncière est due par les personnes suivantes : Propriétaires occupants : ceux qui habitent leur logement. Propriétaires bailleurs : même si le bien est loué, c’est le propriétaire qui règle la taxe foncière, et non le locataire. Usufruitiers : ils doivent s’acquitter de la taxe foncière, même s’ils ne sont pas pleinement propriétaires. Entreprises et SCI : tout détenteur d’un bien immobilier est redevable de la taxe. ️ Voir aussi : Taxe foncière 2025 : pourquoi explose-t-elle et comment la réduire ? 2. Les exonérations permanentes Certaines catégories de contribuables bénéficient d’une exonération totale ou partielle : Personnes âgées de plus de 75 ans disposant de revenus modestes. Bénéficiaires de l’AAH (Allocation aux Adultes Handicapés). Veufs et veuves à condition de remplir des critères de ressources. Logements neufs : exonérés de taxe foncière pendant deux ans après leur achèvement, sous conditions. 3. Les exonérations temporaires Il existe aussi des exonérations limitées dans le temps : Travaux d’économie d’énergie : certaines communes accordent un abattement si le logement a fait l’objet de rénovations énergétiques. Logements vacants : exonération possible en cas d’inoccupation indépendante de la volonté du propriétaire. Logements sociaux : exonérations spécifiques prévues par le code général des impôts. Plus d’informations sont disponibles sur le site officiel impots.gouv.fr. 4. Comment demander une exonération ? Pour bénéficier d’une exonération ou d’un dégrèvement, il faut : Vérifier son éligibilité en fonction de sa situation (âge, ressources, type de logement). Adresser une demande écrite au service des impôts fonciers, accompagnée des justificatifs (avis d’imposition, documents prouvant les travaux, etc.). Respecter les délais impartis pour déposer la demande. 5. Conclusion La taxe foncière reste une charge importante pour les propriétaires. Toutefois, certaines exonérations existent pour alléger cette imposition, en particulier pour les personnes modestes, les seniors ou les logements neufs. Connaître ses droits et anticiper ses démarches permet de réduire efficacement le montant de cette taxe.
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    Déclaration et paiement en ligne des impôts : mode d’emploi Depuis plusieurs années, la déclaration et le paiement en ligne des impôts sont devenus la norme en France. Cette modernisation simplifie la vie des contribuables et permet un suivi plus rapide et sécurisé de leur situation fiscale. Qui doit déclarer ses impôts en ligne ? La déclaration en ligne est obligatoire pour tous les foyers fiscaux, sauf si vous n’avez pas accès à Internet ou que vous n’êtes pas en mesure d’utiliser les services numériques. Dans ce cas, vous pouvez continuer à déposer une déclaration papier. Comment déclarer ses impôts en ligne ? Rendez-vous sur le site officiel impots.gouv.fr. Cliquez sur Votre espace particulier. Connectez-vous grâce à votre identifiant fiscal et votre mot de passe. Accédez au formulaire de déclaration en ligne. Vérifiez les informations préremplies (revenus salariés, allocations, etc.). Ajoutez, si nécessaire, vos autres revenus (fonciers, pensions, indépendants...). Validez et signez votre déclaration électroniquement. Le paiement en ligne Le paiement de l’impôt se fait de plus en plus via le prélèvement à la source, mais certains montants complémentaires peuvent être réglés en ligne : Prélèvement à l’échéance : montant prélevé automatiquement à la date indiquée. Paiement direct en ligne : par carte bancaire ou virement depuis l’espace particulier. Mensualisation : prélèvements automatiques étalés sur l’année. Avantages de la déclaration et du paiement en ligne Simplicité : tout se fait depuis chez vous. Sécurité : vos données sont protégées par le portail officiel de l’État. Rapidité : les corrections sont immédiates et le calcul de l’impôt est instantané. Suivi : accès permanent à votre historique fiscal et vos avis d’imposition. Délais à respecter Les dates limites de déclaration en ligne varient selon votre département, généralement entre avril et juin. Pour les paiements, les échéances sont fixées par l’administration fiscale et doivent être respectées pour éviter toute pénalité. En résumé, la déclaration et le paiement des impôts en ligne sont devenus des démarches incontournables. Elles allient gain de temps, sécurité et praticité, tout en facilitant la communication entre l’administration et les contribuables.
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    Impôt sur le revenu : comment payer moins en toute légalité ? En France, l’impôt sur le revenu représente une part importante des charges fiscales des ménages. Pourtant, il existe de nombreux dispositifs légaux pour réduire son montant. Voici un guide pratique pour optimiser votre fiscalité sans prendre de risques. 1. Utiliser les déductions fiscales Certaines dépenses peuvent être déduites de votre revenu imposable, ce qui réduit directement la base de calcul : Pensions alimentaires versées à un enfant ou un parent dans le besoin. Frais professionnels réels (kilométrage, repas, télétravail) si supérieurs à l’abattement de 10 %. Dépenses liées à la dépendance ou à la perte d’autonomie. 2. Profiter des crédits et réductions d’impôt Les crédits d’impôt réduisent directement le montant à payer. Parmi les plus courants : Travaux de rénovation énergétique (MaPrimeRénov’, isolation, pompe à chaleur). Frais de garde d’enfant (crèche, assistante maternelle). 🧹 Emploi d’un salarié à domicile (ménage, aide aux personnes âgées). Frais de scolarité des enfants (collège, lycée, études supérieures). Dons aux associations, ouvrant droit à 66 % ou 75 % de réduction d’impôt selon le cas. 3. Investir dans l’immobilier défiscalisé L’immobilier est l’un des leviers les plus utilisés pour réduire l’impôt : Loi Pinel : réduction d’impôt pour l’achat d’un logement neuf mis en location. ️ Loi Denormandie : défiscalisation pour la rénovation d’un logement ancien en zone spécifique. Location meublée non professionnelle (LMNP) : amortissement fiscal intéressant. Dispositif Malraux : réduction d’impôt pour la rénovation d’immeubles anciens classés. 4. Placer son argent dans des dispositifs défiscalisants Certaines solutions d’épargne permettent aussi de réduire la facture fiscale : Plan d’Épargne Retraite (PER) : les versements sont déductibles du revenu imposable. FIP et FCPI : fonds investis dans des PME innovantes, ouvrant droit à une réduction d’impôt. Groupements fonciers agricoles ou forestiers : avantages fiscaux attractifs. 5. Optimiser sa situation familiale La composition de votre foyer fiscal influe directement sur vos impôts : Déclarer correctement vos enfants à charge (y compris en garde alternée). Choisir entre imposition commune ou séparée selon votre situation de couple. Prendre en charge un parent peut ouvrir droit à une déduction. ️ Avertissement Attention : optimiser ses impôts est légal, mais tenter de les dissimuler (fraude fiscale) entraîne des sanctions lourdes. Renseignez-vous toujours sur les plafonds et conditions avant de déclarer. Conseils pratiques Conservez tous vos justificatifs pour prouver vos droits à réduction. Utilisez le simulateur officiel sur impots.gouv.fr pour anticiper vos impôts. Contactez un conseiller fiscal ou une association spécialisée pour optimiser votre situation.